Brevenne (la)

Lemma
Brevenne (la)labʁəˈvɛn Bevrona895CartSavigny 1, 27fluvius qui vocatur Bevrona Bevronnanom.950CartSavigny 1, 44fluvius Bevronna Bebronnægén.1010CartSavigny 1, 294rivulus Bebronnæ la Brevona11355LR B 2013DTopLR 107aqua de la Brevona Brevonnan21371LR B 1868DTopLR 107aqua de Brevonnan la Brevenne1765AlléonDulacLyonnois 44et après avoir reçu les eaux de la Brevenne, elle se divise encore en deux bras qui viennent se jeter dans la Saône la Brevonne1780RouteParisLyon 438plus loin le château de Gages, avec le vill. de Lozanne situé un peu au-dessous de la jonction de la Brevonne avec l’Azergues (rivulus) Bevronicus918CartSavigny 1, 8rivulus qui dicitur Bevronicus Nom de la rivière qui prend source à Maringes (LR), affl. de l’Azergues à Lozanne (RH) I. Du protorom. Bevrunna beˈβrʊnna f. (n. de riv.), continué par it. la Brevenna (Ligurie, affl. de la Scrivia), fr. la Beuvronne SM (affl. de la Marne), occ. la Beurona DD “la Beauronne” (affl. de l’Isle). Reflétant gaul. *Bebrunnā “la rivière aux castors”, comp. de *bebro-s m. “animal du genre Castor, bièvre, castor” et *unnā f. “cours d’eau, rivière” ( les hydronymes all. Biberach, Biberbach), ce type hydronymique est répandu dans une grande partie du domaine celtique ancien. — II. Nom propre complexe formé de l’adj. relationnel mlat. Bevronicus, dér. de Bevrona. Forme métathétique. Cas régime en -ane. Est emprunté au protorom. le n. de loc. néerl. Beveren (VOV St-Nic.).